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Prévention et Sécurité

  • Comment prévenir le cancer du sein ?

    Comment prévenir le cancer du sein ?

    À l’occasion de la campagne Octobre Rose, Yoburo vous donne 6 conseils pour prévenir le cancer du sein.

    Limiter votre consommation d’alcool

    Selon une étude du Centre international de Recherche sur le Cancer, boire régulièrement de l’alcool accroît le risque de développer un cancer du sein. En effet, l’alcool augmente le taux d’œstrogènes. Ce sont des hormones féminines qui peuvent transformer les cellules mammaires en cellules cancéreuses. Pour prévenir le cancer du sein, il est donc recommandé « de limiter autant que possible la consommation d’alcool, tant en termes de quantités consommées que de fréquence de consommation » (recommandation du Centre de lutte contre le cancer Léon Bérard).

    Éviter le tabac

    Le tabac augmente également le risque de contracter un cancer du sein. En effet, la fumée de tabac est composée de nombreuses substances chimiques dangereuses pour la santé : des goudrons (benzopyrènes, anthracènes), des gaz toxiques (monoxyde de carbone, oxyde d’azote, acide cyanhydrique, ammoniac), des métaux lourds (cadmium, mercure, plomb, chrome), etc. Pour préserver votre santé et prévenir le cancer du sein, il est donc conseillé de ne pas fumer et d’éviter autant que possible le tabagisme passif (le fait d’inhaler involontairement la fumée de tabac présente dans l’air).

    Contrôler votre poids

    Le surpoids et l’obésité sont aussi des facteurs de risque favorisant la survenue d’un cancer du sein, surtout pour les femmes ménopausées. En effet, un excès de poids peut provoquer un état inflammatoire et des dérèglements hormonaux (production accrue d’insuline et d’œstrogènes)… ce qui favorise l’apparition de cellules cancéreuses. Pour prévenir le cancer du sein, vous devez donc veiller à ne pas être en surcharge pondérale.

    Pour évaluer votre corpulence, vous pouvez calculer votre IMC (indice de masse corporelle). C’est une unité de mesure relativement fiable* qui permet d’identifier rapidement et facilement un problème de poids.

    IMC = poids (en kg) / taille2 (en m).

    Interprétation de l’IMC :

    • moins de 18,4 : insuffisance pondérale (maigreur) ;

    • entre 18,5 et 24,9 : corpulence normale ;
    • entre 25 et 29,9 : surpoids ;
    • entre 30 et 34,9 : obésité modérée ;

    • entre 35 et 39,9 : obésité sévère ;

    • plus de 40 : obésité morbide.

    Par exemple : Une femme pesant 62 kg et mesurant 1,70 m à un IMC de 62/1,70 2 = 21,5. Cette personne a donc une corpulence normale.

    * L’IMC reste une mesure approximative, car elle ne fait pas de distinction entre la graisse, la musculature et l’ossature. Malgré tout, cet outil reste utile pour avoir rapidement et facilement une estimation de sa corpulence.

    Pratiquer une activité physique régulière

    La pratique régulière d’une activité physique diminue le risque de développer un cancer du sein. En effet, le sport agit positivement sur plusieurs facteurs de risque responsables de cette maladie : baisse le taux de glycémie, diminue la quantité d’œstrogènes, limite le surpoids et la sédentarité, diminue le stress chronique, renforce le système immunitaire… Si vous souhaitez en savoir plus sur les bienfaits du sport pour prévenir le cancer du sein, Yoburo vous invite à lire l’article suivant : Le sport, un allié contre le cancer du sein.

    Si vous avez entre 18 et 64 ans, l’OMS vous recommande de :
    • pratiquer une activité physique d’endurance d’intensité modérée d’une durée minimale de 150 minutes ou au moins 75 minutes d’activité physique soutenue par semaine ;
    • pratiquer des activités de renforcement musculaire d’intensité modérée 2 fois par semaine ;
    limiter la sédentarité en bougeant quotidiennement.

    Avoir une alimentation saine et équilibrée

    Avoir une alimentation saine et équilibrée permet de donner à votre corps tous les nutriments dont il a besoin pour rester en bonne santé : renforcer votre système immunitaire, limiter l’excès de poids… Pour cela, nous vous recommandons de :
    • privilégier les fruits et légumes de saison, les légumineuses, les céréales complètes ainsi que les fruits secs ;
    • modérer votre consommation de sel, de sucre et de graisse ;
    • varier les aliments ;
    • privilégier les aliments issus de l’agriculture biologique ;
    • éviter de consommer des aliments ultra-transformés…

    Si vous souhaitez en savoir plus sur ce sujet, n’hésitez pas à lire notre article 6 conseils pour avoir une alimentation saine et équilibrée.

    Limiter le stress

    Une exposition prolongée et répétée au stress peut favoriser la survenue d’un cancer du sein. En effet, le stress chronique fragilise le système immunitaire, engendre un déséquilibre hormonal et mène à des comportements néfastes pour la santé (suralimentation, tabagisme, alcoolisme, sédentarité…). Pour limiter votre stress et préserver une bonne santé, nous vous recommandons de :

    • pratiquer une activité physique régulière ;
    équilibrer votre vie professionnelle et personnelle ;
    • apprendre à gérer vos émotions ;
    dormir suffisamment (entre 7 et 9 heures par jour) ;
    pratiquer la méditation ;
    • faire des exercices de respiration…

    Pour conclure

    Avoir une bonne hygiène de vie aide à prévenir le cancer du sein. Toutefois, le risque zéro n’existe pas, c’est pourquoi il est recommandé :
    • à tout âge de pratiquer tous les mois l’auto-palpation (cliquez ici pour en savoir plus) ;
    • entre 25 et 49 ans et après 74 ans de réaliser un examen clinique des seins tous les ans (palpation par un professionnel de santé : médecin généraliste, gynécologue ou sage- femme).
    • entre 50 et 74 ans de réaliser un examen clinique des seins tous les ans (palpation) et une mammographie de dépistage tous les deux ans.

    En revanche, si vous avez des antécédents personnels ou familiaux, votre suivi médical doit être plus régulier. Pour en savoir plus sur ce sujet, cliquez ici.

    Vous êtes une entreprise et souhaitez prendre soin de la santé de vos collaboratrices et collaborateurs ? Yoburo peut vous accompagner dans cette démarche en vous proposant de nombreuses solutions sport santé :
    des activités physiques : renforcement musculaire, circuit training, Zumba, cardio-boxing, yoga, Pilates, Qi Gong…
    des ateliers bien-être : méditation, gestion du stress, exercices de respiration…
    des conférences : sensibilisation et prévention du cancer du sein, gestion des émotions, équilibrer vie professionnelle et personnelle, nutrition, améliorer sa qualité de vie grâce à l’activité physique…
    Si vous souhaitez plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter.

  • Le sport, un allié contre le cancer du sein

    Le sport, un allié contre le cancer du sein

    De nombreuses études scientifiques ont démontré que la pratique régulière d’une activité physique aide à prévenir certains cancers, dont le cancer du sein. À l’approche de la campagne annuelle Octobre Rose, Yoburo vous explique pourquoi le sport est un excellent allié contre le cancer du sein.

    Pourquoi le sport aide-t-il à prévenir le cancer du sein ?

    L’activité sportive joue un rôle positif dans la prévention du cancer du sein. En effet, le sport :

    stimule le système immunitaire : il renforce nos défenses naturelles pour que notre organisme puisse lutter efficacement contre les cellules cancéreuses.

    baisse le taux de glycémie : une grande quantité de glucose dans le sang engendre un risque plus élevé de contracter un cancer du sein.

    diminue la quantité d’œstrogènes : un excès de ces hormones féminines peut transformer les cellules mammaires en cellules cancéreuses.

    limite le surpoids et la sédentarité : ces 2 facteurs augmentent les risques de développer un cancer du sein.

    Les recommandations de l’OMS

    Pour un adulte de 18 à 64 ans, l’OMS recommande de :

    • pratiquer une activité physique d’endurance d’intensité modérée pendant au moins 2h30 ou une activité physique d’endurance d’intensité soutenue pendant au moins 1h15 par semaine.
    • pratiquer des activités de renforcement musculaire d’intensité modérée 2 fois par semaine.
    limiter la sédentarité en bougeant quotidiennement (aller au travail à vélo ou à pied, prendre les escaliers plutôt que l’ascenseur, passer des appels téléphoniques en marchant, faire des étirements…).

    Vous êtes une entreprise et souhaitez prendre soin de la santé de vos collaboratrices et collaborateurs ? Yoburo vous accompagne dans cette démarche ! Nous proposons de nombreuses conférences autour de la sensibilisation et la prévention du cancer du sein et également d’autres thèmes associant activité physique et qualité de vie. De plus, Yoburo propose de nombreuses activités sportives variées et adaptées aux besoins des entreprises : circuit training, renforcement musculaire, yoga, pilates, stretching, cardio-boxing…

    Nos coachs sportifs s’adaptent à tous les participants (condition physique, niveau de pratique, état de santé, etc.).
    N’hésitez plus et testez une séance de sport avec Yoburo !

  • Comprendre et prévenir les troubles musculo-squelettiques (TMS)

    L’activité professionnelle joue souvent un rôle dans la survenue, le maintien et l’aggravation des troubles musculo-squelettiques. Dans cet article, Yoburo vous aide à comprendre et à prévenir ces maladies professionnelles.

    Qu’est-ce que les troubles musculo-squelettiques ?

    Définition

    Les troubles musculo-squelettiques (TMS) « regroupent des affections touchant les structures situées à la périphérie des articulations : muscles, tendons, nerfs, ligaments, bourses séreuses, capsules articulaires, vaisseaux, etc. Les TMS résultent d’un déséquilibre entre les capacités physiques du corps et les sollicitations et contraintes auxquelles il est exposé. » (définition de l’Assurance Maladie.)

    Le dos, le cou, les poignets, les épaules, les coudes et les genoux sont les parties du corps les plus fréquemment touchées par les TMS (syndrome du canal carpien, épicondylite, syndrome de la coiffe des rotateurs, lombalgies, cervicalgies…).

    Aujourd’hui, beaucoup de TMS sont reconnus comme étant des maladies professionnelles, car l’activité professionnelle est souvent la cause principale de ces affections.

    Symptômes des TMS

    Les symptômes des troubles musculo-squelettiques dépendent de la nature du TMS et de la partie du corps touchée. Voici les principaux premiers symptômes de ces maladies professionnelles :
    • sensation de gêne ;
    • douleurs ;
    • raideur articulaire ;
    • rougeurs et gonflements ;
    • troubles circulatoires ;
    • picotements et engourdissements ;
    • diminution de la souplesse, de la force, de la dextérité…

    Évolution des troubles musculo-squelettiques

    Les TMS évoluent progressivement. Cette évolution peut être divisée en 3 stades :

    1. Stade initial : les désagréments apparaissent durant une activité exercée régulièrement, mais ils disparaissent au repos.

    2. Stade intermédiaire : les désagréments apparaissent rapidement durant une activité exercée régulièrement et mettent plus de temps à disparaître au repos.

    3. Stade de pathologie avérée : les désagréments deviennent chroniques et persistent durant d’autres activités et au repos. Les symptômes évoluent et deviennent plus spécifiques à la nature du TMS.

    Quels facteurs favorisent l’apparition des TMS ?

    Généralement, les troubles musculo-squelettiques découlent d’une combinaison de plusieurs facteurs de risques.
    Voici les 5 principaux facteurs :

    Biomécaniques : gestes contraignants (torsion du poignet, flexion et extension des coudes et des genoux, etc.), postures contraignantes (travail accroupi, penché, statique, etc.), répétition fréquente de mêmes gestes, port de charges lourdes…

    Environnementaux : le froid et la chaleur, l’exposition aux vibrations (conduite d’engins, utilisation d’outils vibrants, etc.), le bruit, la qualité de l’éclairage…

    Psychosociaux : mauvaise relation au travail, manque d’entraide entre les collaborateurs, exigences émotionnelles importantes, manque de reconnaissance professionnelle, travail complexe, tâches dépourvues de sens…

    Organisationnels : contraintes de temps (délais de réalisation trop courts, rythme de travail trop soutenu, etc.), travail répétitif et monotone, manque de contrôle et d’autonomie…

    Individuels : âge, antécédents familiaux, santé (diabète, surpoids, etc.), hygiène de vie (tabagisme, absence d’activité sportive, quantité de sommeil, etc.)…

    Quelles sont les conséquences des troubles musculo-squelettiques ?

    Les TMS peuvent avoir des conséquences négatives pour les collaborateurs, mais aussi pour les entreprises.

    Pour les collaborateurs :
    • dégradation de la santé et de la qualité de vie : gênes et douleurs fréquentes, réduction des capacités physiques, perte d’autonomie, risque de handicap…
    • dégradation de la vie professionnelle : évolution professionnelle difficile, risque d’inaptitude et de désinsertion…

    Pour les entreprises :
    • augmentation des incidents et accidents de travail ;
    • augmentation de l’absentéisme et du turnover ;
    • démotivation des collaborateurs ;
    • diminution de la productivité et de la qualité du travail ;
    • désorganisation du travail ;
    • dégradation des relations sociales ;
    • dégradation de l’image de l’entreprise…

    Comment prévenir les TMS en entreprise ?

    Voici quelques pistes pour prévenir les risques de troubles musculo-squelettiques au sein d’une entreprise :

    Identifier les facteurs responsables de TMS.
    Réaliser un diagnostic permet d’identifier et de comprendre les risques de TMS actuels ou potentiels au sein de l’entreprise.

    Agir sur les facteurs responsables de troubles musculo-squelettiques.
    Après avoir identifié les facteurs favorisant les TMS, il est nécessaire de mettre en place des solutions pour éliminer ou limiter ces risques professionnels. Pour améliorer les conditions de travail des collaborateurs, l’entreprise peut, par exemple, aménager les postes de travail, fournir des équipements adaptés et ergonomiques, modifier l’organisation du travail…

    Informer et former les collaborateurs sur les risques de TMS.
    Proposer aux collaborateurs des conférences et formations sur les troubles musculo-squelettiques.

    Proposer des activités physiques et ateliers bien-être.
    Pour prévenir les TMS, l’entreprise peut proposer des activités physiques et des ateliers bien-être adaptés aux postes de travail des collaborateurs. Des séances de réveil musculaire, d’échauffements, d’étirements, des ateliers pour apprendre à réaliser les bons gestes et avoir les bonnes postures au travail… contribuent à améliorer la santé physique et mentale des collaborateurs.

    Dialoguer avec les collaborateurs pour améliorer les conditions de travail.
    Un collaborateur heureux et en bonne santé est un collaborateur performant.

    Évaluer l’efficacité des solutions de prévention.
    Après avoir mis en place des solutions pour prévenir les TMS en entreprise, il est nécessaire d’évaluer si celles-ci sont véritablement efficaces.

    Pour conclure

    Pour lutter contre les troubles musculo-squelettiques, de nombreuses solutions de prévention santé peuvent être mises en place en entreprise. En améliorant les conditions et la qualité de vie au travail des collaborateurs, l’entreprise améliore et accroît en même temps sa productivité.

    Pour prévenir et limiter les TMS, Yoburo propose aux entreprises de nombreuses solutions santé :
    • Des activités physiques et ateliers bien-être : réveil musculaire, étirements, échauffements, atelier Gestes et Postures, atelier pour apprendre à soulager son dos…
    • Des conférences : se prémunir des troubles musculo-squelettiques et adopter la bonne posture au travail.
    • Une formation des référents en interne
    • Des évènements Safety Day ou journées QVT.

    Si vous souhaitez plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter.

  • La fatigue visuelle

    Avec nos modes de vie actuels, il est difficile d’échapper à la fatigue visuelle. Mais concrètement, qu’est-ce que la fatigue visuelle ? Quels sont les symptômes et les causes de ce trouble ?
    Dans cet article, Yoburo vous explique cela en détail !

    Qu’est-ce que la fatigue visuelle ?

    La fatigue oculaire est une altération temporaire du fonctionnement de l’œil. Cette altération résulte d’un effort excessif des yeux. En effet, tout comme les autres muscles de notre corps, lorsque l’on sollicite trop nos muscles oculomoteurs, cela entraîne une fatigue ainsi que d’autres désagréments.

    Quels sont les symptômes de la fatigue oculaire ?

    Voici les principaux symptômes de la fatigue visuelle :
    • baisse de la vue au cours de la journée (vision floue ou dédoublée) ;
    • difficultés d’accommodation de la vue ;
    • sensation d’éblouissement ;
    • yeux secs, rouges et irrités ;
    • sensation de brûlure ou de picotement dans les yeux ;
    • maux de tête ;
    • douleurs autour des yeux…

    Quelles sont les causes de la fatigue visuelle ?

    Voici les principales causes de la fatigue oculaire :
    • une exposition trop prolongée aux écrans ;
    • la fixation d’un même point pendant longtemps et à courte distance ;
    • une mauvaise luminosité ambiante (un excès de luminosité ou, au contraire, une trop faible luminosité) ;
    • le manque de sommeil ;
    • un équipement optique (lunettes de vue et lentilles) inadapté au trouble visuel ;
    • la fumée de cigarette ;
    • la lecture prolongée…

    Pour conclure

    Au quotidien, la fatigue visuelle peut s’avérer inconfortable, voire douloureuse. Elle peut également affecte négativement nos performances au travail. En effet, la fatigue oculaire entraîne des difficultés de concentration, de compréhension, d’attention… Prendre soin de ses yeux est donc essentiel pour notre bien-être et notre productivité !

    Pour prévenir et limiter la fatigue visuelle au travail, Yoburo vous propose :
    • un atelier bien-être dédié au yoga des yeux ;
    • un podcast : Lâcher l’écran ! 3 exercices pour reposer ses yeux ;
    • un article : Limiter la fatigue oculaire

  • 6 conseils pour bien dormir

    À l’occasion de la 22e Journée internationale du sommeil, Yoburo vous donne 6 conseils simples et efficaces pour bien dormir !

    Avoir un rythme de sommeil régulier

    Se coucher et se lever approximativement à la même heure tous les jours régularise votre horloge biologique et vous permet d’avoir un sommeil de qualité.

    Créer un environnement propice au sommeil

    Pour dormir dans des conditions optimales, nous vous recommandons :
    • d’avoir une literie agréable et confortable ;
    • de dormir dans l’obscurité et dans le calme ;
    • d’aérer votre chambre tous les jours ;
    • d’avoir une température entre 16 °C et 18 °C dans votre chambre.

    Éviter les écrans le soir

    La lumière bleue des écrans perturbe la sécrétion de mélatonine, c’est-à-dire l’hormone qui favorise l’endormissement. Pour bien dormir, il est donc conseillé de ne pas regarder d’écrans 1 à 2 heures avant votre coucher.

    Pratiquer une activité physique régulière

    Exercer une activité physique régulière favorise l’endormissement et améliore la qualité du sommeil. En revanche, veillez à ne pas exercer d’activité sportive intense 2 à 3 heures avant votre coucher pour ne pas perturber et nuire à votre sommeil. En effet, en pratiquant une activité physique intense, vous augmentez votre température corporelle et sécrétez des hormones qui vous maintiennent éveillé.

    Diner sain et équilibré

    Votre alimentation a également un impact sur votre sommeil. Pour bien dormir, nous vous recommandons :
    • de ne pas sauter le dîner pour éviter les fringales nocturnes ;
    • d’éviter de diner des plats trop copieux, épicés et riches en protéines pour faciliter votre digestion ;
    • de ne pas consommer de stimulants (café, thé, chocolat, alcool, tabac, etc.) 6 heures avant votre coucher ;
    • de dîner 2 voire 3 heures avant votre coucher, car lors de la digestion votre température corporelle augmente, ce qui altère votre sommeil.

    Faire des activités calmes et relaxantes en fin de journée

    Après une journée bien remplie, il est important de se détendre et de lâcher-prise. Lire un livre, écouter un podcast, faire des exercices de respiration ou bien encore méditer sont d’excellents moyens pour se relaxer et favoriser le sommeil.

    Pour conclure

    En appliquant quotidiennement ces quelques conseils, vous tomberez dans les bras de Morphée facilement et aurez un sommeil de qualité !
    Vous êtes une entreprise et souhaitez prendre soin du sommeil de vos collaborateurs ?
    Yoburo peut vous accompagner dans cette démarche en vous proposant des activités physiques, des ateliers bien-être et des conférences adaptés à vos besoins.

    Si vous souhaitez plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter.

  • Travail sur écran – comment avoir une posture ergonomique ?

    L’ergonomie améliore le confort et préserve la santé des collaborateurs. Dans cet article, Yoburo vous donne quelques conseils pour aider les collaborateurs à avoir une posture ergonomique adaptée au travail sur écran. Ces conseils sont valables aussi bien en entreprise qu’en télétravail.

    Équiper les collaborateurs avec du matériel ergonomique

    Le matériel ergonomique apporte un confort aux collaborateurs travaillant quotidiennement assis et devant un écran : amélioration de la posture, diminution des risques de troubles musculo-squelettiques, réduction de la fatigue, etc. De plus, en travaillant avec du matériel adapté et confortable, les collaborateurs sont plus performants et efficaces dans leur travail.

    Voici quelques recommandations pour choisir le matériel ergonomique indispensable pour aménager un poste de travail sur écran :

    Le bureau

    Il doit être choisi en fonction des critères suivants :

    La hauteur du bureau doit être adaptée à la taille du collaborateur pour qu’il puisse adopter une posture ergonomique. Pour limiter la position statique, il existe des bureaux assis-debout permettant d’alterner entre la position assise et la position debout.

    Le bureau doit être suffisamment large pour que le collaborateur puisse mettre tout le matériel dont il a besoin pour exercer son travail dans de bonnes conditions (clavier, souris, écran, documents, téléphone, etc.).

    La chaise
    Elle doit être choisie en fonction des critères suivants :

    Le dossier, l’assise et les accoudoirs de la chaise doivent être réglables. Ces réglages permettent au collaborateur d’avoir une posture assise ergonomique.

    La profondeur de la chaise doit permettre au collaborateur d’appuyer le bas de son dos sans que le bord de la chaise exerce une pression derrière ses genoux.

    La surface de la chaise doit être confortable et fabriquée avec des matériaux respirants afin de limiter l’accumulation de chaleur et d’humidité.

    L’écran

    Il doit être choisi en fonction des critères suivants :

    L’inclinaison, la rotation et la hauteur de l’écran doivent être réglables. En effet, pour limiter les douleurs musculaires, un écran doit toujours être ajusté à son utilisateur.

    La taille et la résolution de l’écran doivent être adaptées aux tâches du collaborateur. Par exemple, un collaborateur travaillant dans la bureautique n’aura pas forcément besoin d’un grand écran et d’une très haute résolution, contrairement à un collaborateur travaillant dans l’infographie.


    Le clavier et la souris

    Ils doivent être choisis en fonction des critères suivants :

    Le clavier doit être dissocié de l’écran pour ne pas entraîner une fatigue inutile au niveau des avant-bras.

    La surface du clavier doit être mate pour éviter les reflets.

    L’épaisseur du clavier ne doit pas excéder 3 cm pour limiter l’extension des poignets.

    La taille et la forme de la souris doivent être adaptées aux mains de l’utilisateur. Les souris verticales sont à privilégier, car elles permettent d’avoir une position plus naturelle de l’avant-bras.

    Une souris sans fil apporte plus de confort à l’utilisateur. 


    Aménager de façon ergonomique les postes de travail sur écran

    Pour que les collaborateurs puissent profiter pleinement du matériel ergonomique, il est essentiel d’aménager convenablement les postes de travail sur écran en prenant en compte les caractéristiques physiques de chaque collaborateur (correction visuelle, taille, etc.).

    Voici les principales recommandations de l’INRS pour aménager de façon ergonomique un poste de travail informatisé :

    • La hauteur de la chaise doit être ajustée à la taille du collaborateur afin qu’il puisse poser fermement ses pieds sur le sol. Le dossier de la chaise doit maintenir son dos droit ou légèrement en arrière. La hauteur des accoudoirs doit permettre au collaborateur de positionner ses coudes à 90°.

    • La surface du bureau doit être à la hauteur des coudes du collaborateur. 


    • L’écran doit se trouver en face du collaborateur. Le haut de l’écran doit arriver à la hauteur de ses yeux, sauf s’il porte des verres progressifs. Dans ce cas, l’écran doit être positionné un peu plus bas. La distance œil-écran dépend de la taille de l’écran. Généralement, elle situe entre 50 et 70 cm. Pour améliorer le confort visuel, les paramètres d’affichage de l’écran (luminosité, taille et contraste du texte) doivent également être ajustés en fonction de la vue et des préférences du collaborateur.

    • Le clavier doit se situer en face du collaborateur et se trouver à une distance de 10 à 15 cm du bord du bureau.

    • La souris doit être proche du clavier et se situer à la même hauteur que celui-ci.

    Aider les collaborateurs à prendre de bonnes habitudes pour avoir une posture ergonomique

    Pour aider les collaborateurs à acquérir de bonnes habitudes pour avoir une posture ergonomique au travail, les entreprises peuvent :

    Proposer des formations et conférences sur le thème de l’ergonomie au travail

    Ces formations et conférences peuvent aider les collaborateurs à mieux comprendre l’importance de l’ergonomie au travail, à savoir aménager un poste de travail de façon ergonomique, à adopter les bons gestes et les bonnes postures, etc.

    Yoburo propose aux entreprises 2 conférences dédiées à l’ergonomie au travail : • Se prémunir des troubles musculo-squelettiques.
    • Adopter la bonne posture au travail.
    Si vous souhaitez plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter.

    Organiser des ateliers bien-être ergonomiques
 


    Ces ateliers bien-être permettent de répondre aux problématiques de sédentarité et de mauvaises postures des collaborateurs travaillant quotidiennement assis et devant un écran.

    Yoburo propose aux entreprises des ateliers bien-être dédiés à l’ergonomie : posturologie, exercices pour soulager le dos, yoga des yeux, yoga sur chaise

    Pour conclure

    L’ergonomie permet d’améliorer la qualité de vie au travail des collaborateurs. En contribuant au bien-être des collaborateurs, l’entreprise limite les risques d’absentéisme et de turnover, améliore la motivation, les performances et la productivité des collaborateurs.

  • Le stress au travail – le comprendre et le prévenir

    Le stress au travail, personne n’y échappe. Nous croisons tous sa route, et pour certains d’entre nous, assez fréquemment. Yoburo vous aide à comprendre et à prévenir le stress en entreprise.

    Qu’est-ce que le stress ?

    Le stress est une réaction psychologique et physiologique de l’organisme pour s’adapter à une situation que l’on considère comme contraignante, voire dangereuse. Le stress est provoqué par nos pensées et par notre façon d’interpréter des situations comme étant menaçantes et négatives.

    Pour l’OMS, « le stress lié au travail est l’ensemble des réactions que les employés peuvent avoir lorsqu’ils sont confrontés à des exigences et à des pressions professionnelles ne correspondant pas à leurs connaissances et à leurs capacités et qui remettent en cause leur aptitude à faire face ».

    Quelles sont les différentes phases du stress ?

    Pour Hans Selye (médecin pionnier des études sur le stress), l’organisme répond à une situation stressante en 2 voire 3 phases :

    La phase d’alarme : réaction réflexe de l’organisme.
    Pendant cette première phase, le corps libère des hormones telle que l’adrénaline. La force musculaire, les perceptions et les réflexes de notre corps sont temporairement décuplés pour nous permettre de réagir immédiatement face à une situation stressante.

    La phase de résistance : mobilisation totale de l’organisme.
    Si la situation stressante persiste, la phase de résistance débute.
    Pendant cette deuxième phase, le corps libère de nouvelles hormones (cortisol, dopamine, sérotonine…) et augmente dans le sang le taux de sucre, d’acide gras, etc. Notre corps mobilise temporairement toutes ses ressources pour nous permettre de réagir et de répondre au mieux à une situation stressante.

    La phase d’épuisement : apparition du stress chronique.
    Si la situation stressante perdure trop longtemps ou qu’elle se reproduit trop fréquemment, l’organisme entre dans la phase d’épuisement.
    Pendant cette troisième phase, les capacités de l’organisme fonctionnent en permanence à « plein régime ». Cela entraîne un épuisement des ressources de notre organisme.

    Quels sont les différents types de stress ?

    Il existe 2 types de stress :

    Le stress aigu, aussi appelé le « bon stress », est de courte durée et est souvent bénéfique. Il permet à l’organisme de mobiliser un maximum de ressources pour réagir convenablement à une situation stressante (par exemple : être plus efficace pour terminer un projet avant la deadline, éviter un accident de voiture…). Une fois la situation stressante terminée, une réaction de détente s’enclenche automatiquement. Après un peu de repos, l’organisme retourne à son métabolisme habituel.

    Le stress aigu correspond à la phase d’alarme et la phase de résistance.

    Le stress chronique, aussi appelé le « mauvais stress », est, quant à lui, de longue durée et est néfaste pour la santé physique et mentale. En effet, une exposition prolongée et répétée au stress entraîne une déperdition d’éléments biochimiques ainsi que des désordres métaboliques et physiologiques.

    Le stress chronique correspond à la phase d’épuisement. 
 Quelles sont les causes du stress au travail ?

    Les principales causes de stress au travail sont :
    La charge de travail : surcharge de travail, contraintes temporelles…

    Les horaires de travail : horaires imprévisibles, stricts, incompatibles avec la vie sociale…

    La participation et le contrôle : le manque de participation aux prises de décisions, l’absence de contrôle sur les méthodes de travail et l’organisation…

    La progression de carrière, le statut et le salaire : absence d’évolution professionnelle, précarité de l’emploi, salaire faible, manque de reconnaissance…

    Les relations interpersonnelles : mauvaises relations avec les collègues, travail isolé, manque de considération de la part des supérieurs…

    La culture d’entreprise : mauvaise direction et communication, manque de clarté concernant les objectifs de l’entreprise…

    Quelles sont les conséquences du stress chronique ?

    Comme nous l’avons vu précédemment, le stress chronique entraîne des conséquences négatives pour les collaborateurs atteints par ce type de stress, mais il peut aussi avoir des conséquences négatives pour l’entreprise.

    Pour les collaborateurs, le stress chronique peut entraîner des problèmes :
    • physiques : fatigue, migraines, troubles du sommeil, maux de dos, troubles cardiaques, troubles digestifs…
    • émotionnels et psychologiques : faible estime de soi, fatigue morale, émotivité importante, ruminations, angoisses, troubles de la concentration et de la mémoire, risque de burnout…
    • comportementaux : irritabilité, impulsivité, agitation, repli sur soi, apathie, comportements addictifs (consommation accrue de tabac, alcool, café, nourriture, etc.)…

    Pour l’entreprise, le stress chronique peut entraîner :
    • une démotivation des collaborateurs;
    • une diminution de la productivité;
    • une dégradation des relations sociales;
    • une augmentation de l’absentéisme et du turnover;
    • des difficultés pour remplacer le personnel ou recruter de nouveaux employés;
    • une augmentation des accidents du travail;
    • une mauvaise image de l’entreprise…

    Comment prévenir le stress en entreprise ?

    Voici quelques pistes pour prévenir le stress en entreprise : 
 


    Créer un climat de travail sain.
    Veiller à la bonne entente entre les collaborateurs, gérer les conflits de façon diplomatique, organiser des activités de team building pour renforcer la cohésion entre les collaborateurs, avoir de la reconnaissance pour leur travail…

    • Permettre aux collaborateurs de se réaliser et d’évoluer.
    Favoriser la formation professionnelle et l’évolution de carrière, donner plus de responsabilités et d’autonomie aux collaborateurs…

    • Équilibrer la vie personnelle et professionnelle des collaborateurs.
    Adapter les horaires de travail, accorder des journées de télétravail, respecter les temps de repos des collaborateurs, éviter la surcharge de travail…
    Yoburo propose une conférence bien-être pour aider les collaborateurs à mieux équilibrer leur vie personnelle et professionnelle.

    • Programmer des ateliers bien-être pour aider les collaborateurs à mieux gérer le stress au travail.
    Yoburo propose de nombreux ateliers bien-être en entreprise : exercices de respiration, auto- massage, gestion du stress, yoga sur chaise, sophrologie, méditation…

    Pour apprendre à mieux gérer le stress, Yoburo vous propose également :
    – d’écouter notre podcast : La respiration idéale pour retrouver son calme.
    – de lire nos articles : Stress au travail, comment gérer ? et Gérer son stress au boulot : la respiration, remède simple et efficace.

    • Proposer des séances de sport en entreprise.
    Le sport est un excellent moyen pour évacuer le stress. De plus, l’activité sportive en entreprise renforce l’esprit d’équipe et augmente la productivité des collaborateurs. Yoburo propose de nombreuses activités sportives en entreprise : circuit training, cardio- boxing, danse, renforcement musculaire, yoga, pilates

    Pour conclure

    En améliorant la qualité de vie au travail, l’entreprise limite le stress chronique et améliore le bien-être des collaborateurs. En favorisant le bien-être des collaborateurs, l’entreprise développe et accroît sa productivité.

  • Limiter la fatigue oculaire

    Travailler sur un écran toute la journée peut entraîner une fatigue visuelle : picotements, démangeaisons, rougeurs, migraines, sécheresse oculaire… Pour limiter la fatigue oculaire et prendre soin de vos yeux, Yoburo vous donne quelques conseils !

    Cligner des yeux

    Nous avons souvent tendance à oublier de cligner des yeux lorsque nous fixons un écran. Cligner des yeux permet de répartir le liquide lacrymal (les larmes) de façon régulière sur la surface de l’œil. Ce liquide lacrymal prévient le dessèchement de la cornée des yeux. C’est un conseil simple, mais très efficace pour limiter la fatigue oculaire !

    Pratiquer le yoga des yeux

    Le yoga des yeux est une série d’exercices permettant de renforcer les muscles de nos yeux. Cette gymnastique visuelle sollicite, tonifie, étire, détend et assouplit les muscles oculomoteurs.
    Si vous souhaitez en savoir plus sur ces exercices, Yoburo vous invite à lire l’article suivant : Yoga des yeux : 6 exercices à faire soi-même.

    Yoburo propose également aux entreprises un atelier bien-être dédié au yoga des yeux pour aider les collaborateurs à limiter la fatigue visuelle au travail.

    Découvrez également l’épisode de notre podcast La Boîte à outils dédié au repos des yeux.

    Faire des pauses régulièrement

    Si vous travaillez sur un ordinateur, il est recommandé de faire des micro-pauses de 20 secondes toutes les 20 minutes pour regarder au loin.
    Profitez également de vos pauses pour sortir dehors et profiter de la lumière naturelle, cela fera le plus grand bien à vos yeux !

    Améliorer le confort visuel sur écran

    Installer un filtre anti-lumière bleue sur votre écran.
    La lumière bleue entraîne une fatigue oculaire et accélère le vieillissement de la rétine.

    Ajuster les paramètres d’affichage de votre écran.
    Pour améliorer votre confort visuel, il est important de régler la luminosité de votre écran ainsi que la taille et le contraste du texte.

    Régler la hauteur et la distance de votre écran.
    Pour la hauteur, la partie du haut de l’écran doit arriver à la hauteur de vos yeux. Si vous portez des verres progressifs, l’écran doit être positionné un peu plus bas.
    Quant à la distance, elle dépend de la taille de l’écran. Généralement, la distance oeil- écran se situe entre 50 et 70 cm.

    Éviter les reflets lumineux sur votre écran.
    Pour parfaire votre confort visuel, il est recommandé de placer votre écran perpendiculairement à une fenêtre et d’avoir un éclairage indirect.

    En appliquant ces quelques conseils, vous limiterez la fatigue oculaire et aurez un meilleur confort visuel !

  • Le burnout – le reconnaître et le prévenir

    Le travail peut être une grande source de stress : surcharge de travail, horaires excessifs, objectifs irréalistes, etc. Lorsque ce stress perdure et devient chronique, cela peut conduire au burnout. Dans cet article, Yoburo vous donne quelques conseils pour reconnaître et prévenir le burnout en entreprise.

    Qu’est-ce que le burnout ?

    Le syndrome d’épuisement professionnel, plus connu sous le nom de burnout (terme anglais), se définit comme un « épuisement physique, émotionnel et mental qui résulte d’un investissement prolongé dans des situations de travail exigeantes sur le plan émotionnel » (définition de Schaufeli et Greenglass).

    Pour l’OMS, le burnout est un « syndrome résultant d’un stress chronique au travail qui n’a pas été géré avec succès ».

    D’après les travaux scientifiques de Christina Maslach (psychologue spécialisée dans les domaines de l’épuisement et du stress au travail), le burnout se caractérise par 3 éléments :
    L’épuisement émotionnel : sentiment d’être vidé de ses ressources émotionnelles.
    Le cynisme vis-à-vis du travail : déshumanisation de la relation à l’autre, vision négative des autres et du travail.

    La diminution de l’accomplissement personnel au travail : dévalorisation de soi, sentiment d’être inefficace dans son travail et de ne pas être à sa place…

    Actuellement, le burnout n’est pas reconnu comme maladie professionnelle, mais comme un phénomène lié au travail. Toutefois, il est possible de faire reconnaître l’origine professionnelle de ce syndrome sous 2 conditions :
    • Le collaborateur doit prouver un lien direct entre la maladie et son travail.

    • La maladie doit avoir entraîné une incapacité permanente partielle d’au moins 25%.

    Quels sont les symptômes du burnout ?

    Les symptômes du burnout sont :

    Émotionnels : anxiété, tension nerveuse, tristesse, manque d’entrain, irritabilité, hypersensibilité, absence d’émotions…

    Physiques : troubles du sommeil, fatigue chronique, tensions musculaires, prise ou perte de poids, maux de tête, nausées, vertiges, douleurs rachidiennes…

    Cognitifs : diminution de la concentration, troubles de la mémoire et de l’attention, difficulté à prendre des décisions…

    Comportementaux : isolement social, comportement agressif voire violent, manque d’empathie, hostilité à l’égard des autres, comportements addictifs, désengagement progressif, baisse de motivation, dévalorisation de soi…

    Quelles sont les causes de l’épuisement professionnel ?

    Généralement, le burnout est causé par des caractéristiques liées au travail et à l’individu lui-même.

    Les principales causes liées au travail
    • Les exigences au travail : objectifs irréalistes, surcharge de travail, horaires excessifs…

    Les mauvais rapports sociaux et relations de travail : manque de communication, de cohésion, de solidarité, d’entraide entre les collaborateurs, etc.

    Le manque d’autonomie : manque de liberté dans la réalisation et l’organisation du travail.

    L’insécurité de la situation de travail : peur de perdre son emploi, retards dans le versement des salaires, précarité d’un contrat, incertitude sur l’avenir de son métier…

    Les principales causes liées à l’individu

    Souvent, le burnout touche davantage les personnes qui ont tendance à :

    Manquer de confiance en soi : avoir le sentiment de ne pas être à la hauteur et d’être incompétent au travail.

    Trop s’investir dans leur travail : s’imposer des exigences démesurées envers soi-même.

    Quelles sont les conséquences du burnout pour l’entreprise ?

    En plus d’avoir des conséquences négatives sur la santé et le bien-être de la personne atteinte d’un burnout, l’épuisement professionnel peut aussi avoir des conséquences négatives sur l’entreprise :
    • démotivation des collaborateurs;

    • diminution de la productivité;
    • dégradation des relations sociales;
    • augmentation de l’absentéisme et du turnover;
    • difficultés pour remplacer le personnel ou recruter de nouveaux employés; • augmentation des accidents du travail;
    • mauvaise image de l’entreprise…

    Comment prévenir les risques de burnout en entreprise ?

    Voici quelques pistes pour prévenir les risques du syndrome d’épuisement professionnel au sein d’une entreprise :

    • Informer et former les collaborateurs sur les risques psychosociaux.
    Proposer aux collaborateurs des conférences, ateliers et formations sur les risques psychosociaux au travail.

    • Veiller à la charge de travail des collaborateurs.
    Mettre en place des indicateurs de suivi pour observer si la charge de travail des collaborateurs est ponctuelle ou récurrente et si elle est bien répartie dans le temps et entre les travailleurs.

    • Équilibrer la vie personnelle et professionnelle des collaborateurs.
    Essayer d’adapter les horaires de travail, respecter les temps de repos des collaborateurs, veiller à ce que les jours de congés soient bien pris…
    Yoburo propose une conférence bien-être pour aider les collaborateurs à mieux équilibrer leur vie personnelle et professionnelle.

    • Proposer des séances de sport en entreprise.
    Le sport est un excellent moyen pour évacuer le stress. De plus, l’activité sportive en entreprise renforce l’esprit d’équipe et augmente la productivité des collaborateurs.
    Yoburo propose de nombreuses activités sportives en entreprise : circuit training, boxe, danse, renforcement musculaire, yoga, pilates

    • Programmer des ateliers bien-être pour aider les collaborateurs à mieux gérer le stress au travail.
    Yoburo propose de nombreux ateliers bien-être en entreprise : exercices de respiration, auto-massage, gestion du stress, yoga sur chaise, sophrologie, méditation

    • Laisser davantage d’autonomie aux collaborateurs.
    Pour être épanouis, les collaborateurs ont besoin d’avoir de la liberté dans la réalisation et l’organisation de leur travail.

    • Avoir de la reconnaissance pour le travail des collaborateurs.
    Pour maintenir et développer l’engagement, la motivation et l’efficacité des collaborateurs, il est important de faire des retours positifs sur leur travail.

    • Dialoguer avec les collaborateurs pour améliorer les critères de qualité de vie au travail.
    Un collaborateur heureux et en bonne santé est un collaborateur performant !

    Pour conclure

    Pour limiter le stress chronique et prévenir le risque de burnout au sein d’une entreprise, il est nécessaire d’améliorer la qualité de vie au travail des collaborateurs. En contribuant au bien-être des collaborateurs, l’entreprise améliore en même temps sa productivité.

  • Lutter contre la fatigue hivernale

    Avec l’arrivée de l’hiver et les fêtes de fin d’année terminées, la reprise du travail peut s’avérer fatigante. En effet, le manque de luminosité, le froid, les repas copieux, les retrouvailles en famille et amis peuvent engendrer une grande fatigue !
    Pour commencer cette nouvelle année en pleine forme, Yoburo vous donne quelques conseils pour lutter contre la fatigue hivernale !

    Dormir suffisamment

    Pendant les vacances de Noël, notre rythme de sommeil est souvent bouleversé. Résultat, à la fin des vacances, nous nous sentons épuisés et démotivés à l’idée de reprendre le travail. Pour démarrer l’année 2022 du bon pied, il est important de reprendre de bonnes habitudes de sommeil ! La National Sleep Foundation recommande, pour un adulte de 18 à 64 ans, de dormir entre 7 et 9 heures par jour.

    En dormant, vous :
    • reconstituez vos réserves énergétiques;
    • renforcez votre système immunitaire;
    • améliorez votre humeur;
    • réduisez votre stress;
    • améliorez vos capacités de concentration, votre productivité…

    Avoir une alimentation saine et équilibrée

    Pour nous réconforter du froid et du mauvais temps, nous avons souvent tendance à manger plus gras et en plus grande quantité en hiver. Or, plus nous mangeons gras et en grande quantité, plus notre digestion est longue et nécessite de l’énergie. La digestion engendre donc une fatigue.

    Pour être en pleine forme, il est nécessaire d’adopter une alimentation saine et équilibrée ! Privilégiez les fruits et légumes de saison, les légumineuses, les céréales complètes ainsi que les fruits secs. Essayez également de modérer votre consommation de sel, de sucre et de graisse.

    En variant les aliments, vous donnerez à votre corps tous les nutriments dont il a besoin pour lutter contre la fatigue hivernale et rester en bonne santé.

    S’hydrater

    Pour réduire la sensation de fatigue et être productif tout au long de la journée, il est essentiel de s’hydrater régulièrement.
    À votre travail, essayez de toujours avoir une boisson à vos côtés, afin de pouvoir boire régulièrement. Privilégiez l’eau et le thé et veillez à limiter votre consommation de café.

    Pratiquer une activité physique

    Pratiquer une activité sportive régulièrement est l’un des meilleurs remèdes pour lutter contre la fatigue hivernale. En effet, le sport maintient en forme, apporte une sensation de bien-être, réduit le stress, renforce notre système immunitaire, améliore nos performances physiques et mentales… donc pourquoi s’en priver !

    Pour un adulte de 18 à 64 ans, l’OMS recommande de pratiquer :
    • une activité physique d’endurance d’intensité modérée pendant au moins 2h30 ou une activité physique d’endurance d’intensité soutenue pendant au moins 1h15 par semaine.
    • des activités de renforcement musculaire d’intensité modérée 2 fois par semaine.

    Vous n’avez pas le temps de pratiquer une activité sportive sur votre temps personnel ? Proposez à votre employeur de mettre en place des séances de sport au sein de l’entreprise. L’activité physique à toute sa place en entreprise. Un collaborateur qui se sent bien, en bonne santé physique et mentale, saura donner en retour le meilleur de lui-même à l’entreprise ! Pour en savoir plus à ce sujet, Yoburo vous invite à lire l’article suivant : Pour quelles raisons pratiquer du sport en entreprise ?

    Yoburo propose des activités sportives variées et adaptées aux besoins de chaque entreprise : circuit training, boxe, danse, renforcement musculaire, yoga, pilates…il y en a pour tous les goûts !

    S’exposer à la lumière naturelle

    Profitez des beaux jours de l’hiver pour faire le plein de vitamine D. La lumière naturelle est un excellent remède anti-fatigue et apporte de nombreux bienfaits à votre corps et votre esprit.
    À votre travail, profitez de vos pauses pour prendre des bains de soleil. Avec plus de vitalité, votre efficacité et productivité ne sera que meilleure !

    Pour conclure

    En adoptant simplement une bonne hygiène de vie, vous lutterez contre la fatigue hivernale, serez plus heureux et plus productif au travail !